Qu'est ce que c'est ?
Un aspect de votre vie ne vous apporte pas de satisfaction malgré tous vos efforts ? Votre santé, votre niveau d’énergie, vos relations, votre profession, votre abondance matérielle ? Est-ce que vous n’êtes pas à l’aise dans un endroit en particulier ? Votre maison, votre appartement ou une pièce spécifique, votre commerce, votre atelier, votre bureau, ...
Il est possible que des perturbations énergétiques liées au lieu soient à l’origine de ce trouble, de vos difficultés ou de votre mal-être, et qu’elles puissent être corrigées.
Vous vous sentez ressourcé en un lieu architectural particulier ou dans la nature ? Peut-être que chez vous aussi se trouvent des points énergétiques particuliers pour vous recharger positivement et récupérer de la vitalité.
Que se passe-t-il quand nous ressentons un sentiment de bien-être ou de mal-être dans un lieu en particulier ?
On dit que le lieu dégage des ondes «positives» ou au contraire «négatives»...
Ces impressions ne sont pas subjectives. Elles sont issues de données mesurables : les ondes sont bien réelles et elles nous touchent. Les aspects subtils d’un lieu ont un impact biologique sur le Vivant. Ainsi, chaque endroit sur la planète a sa propre vie et génère des effets sur nous selon la durée et l’intensité de notre exposition, habitant ou simple passant.
Comment identifier ces aspects subtils ? Et quels avantages concrets cela nous apporte-t-il ?
Suivez le guide...
Des énergies naturelles
Energies des univers, des trous noirs, des galaxies, des planètes, des étoiles, et au plus proche de nous, l’énergie de notre soleil, de notre lune, de la Terre elle-même et des éléments...
Entourée de différentes couches atmosphériques, la terre est contenue dans le bain énergétique cosmique du grand “vide” intersidéral.
Les rayonnements cosmiques et terrestres sont des énergies 100% naturelles dont les interrelations forment le champ vibratoire de la planète : rayons stellaires et planétaires, rayons solaires, rayons du noyau terrestre (dus aux déplacements de son noyau externe fait de métaux conducteurs en fusion) et courants magnétiques aquatiques, radioactivité naturelle de la matière, électricité atmosphérique, champ gravitationnel...
C’est une harmonie terrestre fragile, régulièrement perturbée par différentes situations de “ruptures de forces” (vents solaires sur terrains humides, attraction lunaire sur failles d’eau, failles sur courants d’eau, etc...), qui apportent des modifications en certains endroits dans la distribution du champ.
Des connaissances universelles et multi-millénaires
Dans toute l’histoire de l’humanité, les êtres humains ont recouru à la perception sensitive de l’environnement partout sur la planète
pour améliorer leur vie quotidienne.
C’est une pratique qui remonte à la nuit des temps. Elle se base sur la perception du géomagnétisme : les forces des rayonnements issus de la terre et du ciel en fonction des éléments présents et des mouvements cosmiques.
Il fut un temps où l’humanité coopérait avec la nature et percevait les forces et les flux aujourd’hui invisibles à nos yeux. Conscients de la nécessité de vivre reliés en accord avec l’environnement, nous prêtions attention aux rayonnements géomagnétiques de la terre et du ciel pour travailler en relation avec les champs énergétiques.
Des témoignages ont traversé le temps dans le monde entier, des pyramides de l’Amérique centrale, du Sud et d’Afrique, jusqu’aux statues géantes de l’île de pâques au beau milieu de l’océan pacifique. l’art ancestral du
feng shui est basé dessus.
Aux quatre coins de la planète, les traditions indigènes actuelles perpétuent cette alliance avec les forces célestes et terrestres. Ce sont les peuples de la terre : les derniers peuples des forêts, des montagnes, des plaines, des déserts et des steppes, des rivages et des îles. Quels sont ces peuples ? Les inuits du grand nord, les touaregs, les maasaïs, les amérindiens, les papous, les Kanaks, les Polynésiens et tous les peuples indigènes du Pacifique, des Amériques et d’Amazonie, d’Asie, d’Afrique, de Scandinavie (les Samis ou Lapons). Les indiens précolombiens Kogis et les aborigènes d’Australie sont les plus anciens. Malheureusement, le processus de disparition ou d’acculturation de ces peuples continue.
Notre culture occidentale plonge ses racines dans cette connaissance. Nous en faisions usage au quotidien déjà au temps du néolithique, chez les peuples préhistoriques celtiques, et peut-être même avant.
Elle régissait déjà les toutes premières constructions humaines : pour témoins, le “village traversé par les menhirs” d’Avebury en Angleterre, site mégalithique le plus vaste au monde, ou encore calanais sur l’île de Lewis en Ecosse. Ces sites mégalithiques vieux de plusieurs milliers d’années avant jésus-Christ ont traversé les siècles jusqu’à nous.
Au 19ème et 20ème siècles, intrigués par l’implantation géographique des batis ancestraux, les chercheurs ont constaté que les sites antiques et de culte sont positionnés les uns par rapport aux autres : reliés par des lignes, formant parfois des figues géométriques parfaites, ils sont alignés sur le territoire.
Lancés sur la piste de ces lignes, les chercheurs ont redécouvert l’existence des différents systèmes énergétiques : les circuits vitaux de la terre - méridiens telluriques, lignes de Ley et réseau solaire, et leurs interconnexions élaborées. Ces lignes sont des flux de
forces telluriques et cosmiques.
Nos ancêtres, qui percevaient ces flux électromagnétiques et solaires, disposaient d’une connaissance scientifique mystérieusement avancée. Ils l’utilisaient pour aménager leur vie en collaborant avec la nature.
Une spécificité contemporaine
Aujourd’hui, un surplus d’énergies inédites s’ajoute à ce bain énergétique.
Ce sont celles produites par l’être humain aux 20ème Et 21ème siècles : les pollutions électromagnétiques artificielles qui sont issues de la technologie.
Il suffit de se promener dans la rue pour constater que l’on est saturé de fréquences électromagnétiques : lignes électriques à haute tension et courant alternatif dans nos murs, hyperfréquences à cause notamment de nos satellites, de la téléphonie mobile, des radars et des micro-ondes, des appareils Wifi, des ordinateurs, des télévisions, des boitiers gps, et des récents compteurs de consommation énergétiques ...
On appelle cette saturation de fréquences «électrosmog» : brouillard électromagnétique.
Ces énergies artificielles sont des poussières à côté des énergies issues du cosmos et de la terre, mais elles interfèrent à l’échelle humaine dans notre équilibre global et c’est une donnée à prendre en compte.
En France, on reconnaît encore peu les conséquences sur nos vies de la saturation artificielle des fréquences électromagnétiques. Pourtant, leur excès provoquerait des dommages sur notre santé. Il existe quantité de témoignages et de recherches sur le sujet.
Espagne, Suède, Etats-Unis, Australie, Israël, Allemagne, Angleterre et Canada reconnaissent officiellement la situation comme un problème de santé public : ils adoptent des solutions pour réduire cette pollution, ou au moins ne plus l’augmenter (par exemple refuser les nouveaux compteurs) dans les pays où ce n’est pas pris en compte, certaines municipalités prennent elles-mêmes des décisions radicales pour éradiquer ces fréquences.
Faire diminuer ce brouillard électromagnétique permettrait aussi de retrouver le contact avec les fréquences hertziennes basses de la Terre.
Nous en avons un besoin vital, car nous sommes biologiquement alignés sur les champs électromagnétiques naturels émis par notre terre.
Ces longueurs d’ondes constituent une part de notre nourriture terrestre au même titre que l’eau pure, l’air sain, les vitamines et les minéraux dont notre mode de vie actuel nous carence.
Voir aussi :
Les dossiers Energétique et Environnement